
Le mouvement avait débuté jeudi soir à la même heure. Avec cette action, les syndicats voulaient dénoncer le manque de personnel et les conditions de travail « intenables« . D’après eux, il manque environ 100 équivalents temps-plein au personnel de la prison de Haren. Pendant ces 48 heures de grève, la police et la Croix-Rouge, ainsi que la direction de l’établissement, ont assuré le fonctionnement minimal. Les détenus n’ont pu avoir ni promenade ni visite.