
Le projet prévoit la déconstruction de l’intérieur du bâtiment et la reconstruction de commerces et d’équipements scolaires, culturels et sportifs, l’aménagement de deux espaces publics dans les cours extérieures ainsi que la rénovation des façades existantes.
Cette décision intervient malgré plusieurs demandes de classement formulées par l’Arau, l’Atelier de Recherches urbaines, qui souhaitait protéger le patrimoine architectural du bâtiment.
Les travaux sont programmés à partir de février 2026. Les opposants disposent d’un délai de 60 jours pour introduire un recours auprès du Conseil d’État.